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Les « nouveaux » catalogues

Le bon côté, c’est qu’on ne nie plus les mérites de ces catalogues nouvelle génération, quelque soit le nom qu’on leur donne. On se demande maintenant quels sont les meilleurs moyens d’utiliser les outils du web 2.0 (sites d’agrégation de critiques pour pallier le manque de masse critique d’une bibliothèque seule, etc…), et cela ne se limite plus (enfin!) à nos chers catalogues.

Aya et l’Afrique enchantée (suite et fin)

Et les analyses de lectures de Bernadette? Personne, même parmi les salariés, ne s’est chargé de les transposer sur Sens critique, car personne n’ose se servir de sa souris hors le SIGB (CTRL+C CTRL+V, quelle difficulté! Ah j’oubliais, il faut se créer un profil, c’est peut-être ça la difficulté?). Parler de dissémination (ie rendre la bibliothèque présente là où elle n’est généralement pas) à mes anciens collègues, c’est parler martien.

Quelle place pour la musique en bibliothèques? (2)

La musique en bibliothèques est chamboulée par la dématérialisation du support : bornes d’écoute, playlists, podcasts, prêt numérique, streaming, etc viennent en complément des CD. Si ces CD dont les statistiques de prêts se maintiennent ici et dégringolent là, sont appelés à disparaître à terme (qui prête encore des cassettes audio?), cela ne veut pas dire que la musique doit déserter les bibliothèques.

Quelle place pour la musique en bibliothèques? (1)

C’est la question que pose l’ACIM dans un texte qui sera soumis à l’AG de l’ACIM le 28 mars 2011 à Auxerre. Ce texte est destiné à être envoyé aux autres associations professionnelles et aux associations d’élus. La proposition de texte est mise en ligne sur un blog temporaire à l’adresse suivante :
http://acim2011.wordpress.com/2011/03/14/la-musique-a-toute-sa-place-en-bibliotheque/

N’hésitez pas à approuver, compléter et discuter en commentaires de l’article.