Quand le commerce copie les bibliothèques
C’est toute la société qui se numérise, et je trouve intéressant que les centres commerciaux adoptent, sans même s’en rendre compte, certaines des recettes que les bibliothèques inventent pour y faire face.
C’est toute la société qui se numérise, et je trouve intéressant que les centres commerciaux adoptent, sans même s’en rendre compte, certaines des recettes que les bibliothèques inventent pour y faire face.
Le libre ne se limite pas à l’utilisation de quelques logiciels comme Apache, PhpMyAdmin, LibreOffice ou The Gimp. Il trouve des applications dans l’ensemble de la création intellectuelle : des photos, des films, des musiques, des livres, etc deviennent libres par la volonté de leurs auteurs.
Des prêts numériques directement à partir du catalogue de la bibliothèque? Les fabricants de SIGB y travaillent. Passer par une médiathèque virtuelle unifiée? CAREL y travaille. Au québec, le service est déjà opérationnel.
Pourquoi reparle-t-on de censure dans les bibliothèques alors que le sujet semblait clos après le départ du FN des municipalités d’Orange, Marignane, Toulon et Vitrolles?
La bibliothèque propose pour l’instant 600 liseuses (qui peuvent être utilisées sur place ou chez soi), 48 ordinateurs, 10 ordinateurs portables, et 40 tablettes à utiliser sur place. Les personnes qui le désirent peuvent bien sûr utiliser leur propre matériel pour accéder aux différents contenus disponibles, une fois inscrits à la bibliothèque.
C’est ainsi que le numérique a envahi nos vies : pour communiquer, s’informer, étudier, se divertir, jouer, consulter, acheter et ventre. Mais comment mesurer l’impact global cette mutation sur nos vies ? Un sujet foisonnant, où se croisent économie, démocratie, urbanisme, éducation et création artistique…