Mesurer le monde (3) : un calendrier cosmique
Rapportons les 13.8 milliards d’années de l’univers aux 12 mois d’une année terrestre, en une sorte de calendrier cosmique. On peut composer un grand récit à partir des différentes sciences.
Rapportons les 13.8 milliards d’années de l’univers aux 12 mois d’une année terrestre, en une sorte de calendrier cosmique. On peut composer un grand récit à partir des différentes sciences.
Avoir des unités, c’est bien. S’en servir c’est mieux. Tout le monde a une idée approximative de ce que représente un mètre, ou un kilomètre. Mais un million de kilomètres ou un nanomètre? Pour mieux appréhender les ordres de grandeur, on peut donc utiliser les puissances de 10, qui donnent le nombre de zéro avant ou après la virgule.
Du 13 au 16 novembre 2018 à Versailles, quatre des sept unités de base du Système international ont été redéfinies. Cette réforme préparée depuis huit ans est entrée en vigueur en mai 2019. De quoi mesurer le monde avec encore plus de précision.
Quand on dit qu’une supernovea « ensemence » les pouponnières d’étoiles, on parle des éléments chimiques de plus en plus lourds qui se sont fabriqués durant la vie de la vieille étoile et qui sont dispersés au moment de l’explosion, avant d’être recyclés dans les systèmes stellaires de la génération suivante.
Il se trouve que notre galaxie, la Voie Lactée ne constitue qu’un élément de notre adresse cosmique, qui se décompose comme suit : Système Solaire | Voie Lactée | Laniakea
Au rayon des mensonge à la sauce UKIP, M. Dupont-Aignan a osé affirmer durant la campagne européenne de 2014 que les pays d’Europe n’ont aucune… Lire la suite »“Les pays d’Europe n’ont aucune histoire en commun”