ITyPA, mooc d’emploi
Comme ce blog me sert aussi d’aide-mémoire, je vais centraliser ici tous les liens qui me sont utiles concernant ITyPA, pour ne pas repasser un quart d’heure à chercher tel ou tel lien.
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#itypa
Mooc ITyPA, c’est parti!
Je viens de m’inscrire à un cour de massif en ligne où nous sommes plus de 1300 participants. Avez-vous déjà tenté ce type de chalenge? Partagez votre expérience!
“Internet : t’outiller pour apprendre”
Pour rester expert dans notre domaine, les spécialistes de l’information que nous sommes doivent entretenir leurs compétences informationnelles. Or la manière de se former évolue également. Avez-vous déjà utilisé ou participé à un MOOC?
Le sens de ce blog 4 : considérations stylistiques
La Chine impériale a instauré les concours pour recruter ses fonctionnaires bien avant la France. L’idée de départ était la même : une égalité des chances et de traitement. Cela permettait de recruter les meilleurs éléments, indépendamment de l’origine sociale. Pourtant, le système, après quelques siècles, s’est grippé et a conduit à un mandarinat sclérosé. Le recrutement endogamique dont souffrent nos bibliothèque ne serait-il pas le signe que la France a atteint ce stade ? Au lieu de mes études de biochimie et d’info-doc (bac+5), j’aurais du faire Sciences-Po et l’ENA, quand le commun des mortel est surpris d’apprendre qu’il existe des études pour devenir bibliothécaire.
Le sens de ce blog 3 : l’organisation d’une documentation entièrement électronique
Vous noterez qu’à aucun moment n’est intervenu le papier : je n’imprime aucune source, la part que je décide d’archiver l’est sur un disque dur, j’écris directement sur écran, et vous découvrez mes élucubrations dans un blog. Pourtant, il n’a été question ici que de lecture et d’écriture, sans que n’apparaisse cet étrange objet en forme de codex qu’on appelle « un livre ».
Le sens de ce blog 2 : une veille moins geek que pragmatique
Oh pas un de ces Netvibes pléthorique avec une cinquantaine d’onglets comme on en rencontre parfois, vanté par leur auteur pour montrer à quel point ils sont au fait du numérique : cela semble être un but en soi. C’est beau, cela vise à l’exhaustivité, mais on ne me fera pas croire que le concepteur consulte régulièrement l’ensemble des fils RSS répertoriés. Qu’une structure institutionnelle offre un Netvibe bien fourni à ses utilisateurs, je peux le concevoir, mais qu’un quidam accumule les RSS comme on collectionne les timbres, je ne vois pas l’intérêt.
