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Quelle place pour la musique en bibliothèques? (2)

La musique en bibliothèques est chamboulée par la dématérialisation du support : bornes d’écoute, playlists, podcasts, prêt numérique, streaming, etc viennent en complément des CD. Si ces CD dont les statistiques de prêts se maintiennent ici et dégringolent là, sont appelés à disparaître à terme (qui prête encore des cassettes audio?), cela ne veut pas dire que la musique doit déserter les bibliothèques.

Quelle place pour la musique en bibliothèques? (1)

C’est la question que pose l’ACIM dans un texte qui sera soumis à l’AG de l’ACIM le 28 mars 2011 à Auxerre. Ce texte est destiné à être envoyé aux autres associations professionnelles et aux associations d’élus. La proposition de texte est mise en ligne sur un blog temporaire à l’adresse suivante :
http://acim2011.wordpress.com/2011/03/14/la-musique-a-toute-sa-place-en-bibliotheque/

N’hésitez pas à approuver, compléter et discuter en commentaires de l’article.

Livre, lecture, culture (2)

Il faudrait se borner à des concours d’écriture et à des accueils d’auteurs, selon cette définition du Dictionnaire du Diable dont j’apprécie l’humour :

Lecture publique : Promotion du livre par le spectacle de clowns et l’exposition d’art contemporain.

Mais dont le commentaire associé des auteurs me laisse perplexe :

C’est une gentille moquerie sur la mode des animations – qui n’ont parfois qu’un bien lointain rapport avec le livre ou une bibliothèque.

Livre, lecture, culture (1)

Dans l’enquête des étudiantes de l’IUT 2 info doc Grenoble, l’un des mots qui ressort le plus pour caractériser les bibliothécaires est le mot «culture». Mais de quelle culture parle-t-on? Les professionnels interviewés opposent culture populaire et culture intellectuelle en expliquant qu’il faut être attentif à tous les publics, mais il est entendu que culture = littéraire. Peu évoquent par exemple la culture scientifique.

Lecon n°7 : Vous devrez vous battre contre l’image de votre métier (3)

[…] la moitié d’entre eux estiment manquer de reconnaissance. Leur métier, décrit comme « vivant et apportant une richesse intellectuelle et relationnelle », se révèle mal compris, concurrent d’internet et doté de moyens humains et financiers jugés insuffisants. La diversité de ses cadres d’emplois (assistant ou assistant spécialisé de conservation des bibliothèques ou du patrimoine, bibliothécaire ou conservateur) contribue au flou.