Renseignement : les barbouzes passent au numérique
Le projet de loi relatif au renseignement suscite un flot de critiques de tous horizons.
1-L’allongement de la liste des motifs pouvant entraîner une mise sous surveillance, loin de se limiter au terrorisme.
2-Une surveillance à grande échelle avec des outils particulièrement intrusifs
3-Une absence de contrôle effectif
4-Plus de données pour quoi faire?