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Ecriture

Lire-écrire-publier

Jean Michel Le Baut révolutionne son enseignement avec des livres qui sont enrichis… par ses élèves. Il a observé que ces derniers passent leur temps à « lire-écrire-publier » sur la toile. Il a décidé de tirer parti de cette appétence en la transformant en compétences, avec des projets plus inventifs les uns que les autres.

SDF du numérique et nomades de la toile (3)

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Recueillir des données que l’on traite chez soi. Ces données peuvent provenir d’Internet ou des ressources papier.
Extraire et traiter des données sur place. Dans la mesure où la prise de notes se fait directement sur écran, certains sujets expliquent que la rédaction peut atteindre un stade plus ou moins avancé, y compris le produit fini, dès la bibliothèque, sans qu’ils ressentent le besoin d’attendre le retour à la maison. “L’usage de l’ordinateur, en effet, brouille les frontières entre les notes de lecture et le document d’analyse proprement dit.”
Apporter ses données à la bibliothèque… et les combiner avec celles qu’on trouve sur place.

SDF du numérique et nomades de la toile (2)

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Que font les nomades du numérique qui utilisent Internet à la bibliothèque? Qu’est ce qui compte ? De savoir si le visiteur est venu pour telle ou telle catégorie de la Dewey, ou bien de se demander comment il collecte et organise ses informations ? Il suffit de considérer la messagerie, par exemple, pour comprendre qu’au delà d’un outil, c’est d’abord un moyen pour couvrir une grande variété de besoins pointus.

Le sens de ce blog 4 : considérations stylistiques

La Chine impériale a instauré les concours pour recruter ses fonctionnaires bien avant la France. L’idée de départ était la même : une égalité des chances et de traitement. Cela permettait de recruter les meilleurs éléments, indépendamment de l’origine sociale. Pourtant, le système, après quelques siècles, s’est grippé et a conduit à un mandarinat sclérosé. Le recrutement endogamique dont souffrent nos bibliothèque ne serait-il pas le signe que la France a atteint ce stade ? Au lieu de mes études de biochimie et d’info-doc (bac+5), j’aurais du faire Sciences-Po et l’ENA, quand le commun des mortel est surpris d’apprendre qu’il existe des études pour devenir bibliothécaire.